Source Le Point oct.24 – La combustion du bois est un enjeu sanitaire majeur, car elle génère bien plus de particules fines et de gaz toxiques que n’importe quelle autre énergie. Le bois est de très loin la principale source d’émissions de particules fines et ultrafines et n’épargne pas les villes françaises, où la part du chauffage au bois représente moins de 10 % des modes de chauffage mais déjà plus de 70 % des émissions de particules fines, par exemple Strasbourg. Consulter l’article.
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Par Gerard Altaber de « Non à la Chaufferie de Gravenoire », l’association pour la protection de l’environnement naturel et la préservation du cadre de vie des populations à l’ouest de l’agglomération Clermontoise. Accéder au site, contactez le bureau ou s’abonner à la newsletter « Non à la Chaufferie de Gravenoire ».
« Brûler du bois pour produire de l’énergie émet plus de CO2 que le gaz naturel, le charbon ou le fioul par kilowattheure produit »: Cette affirmation est douteuse à plusieurs titre. 1)En brûlant du bois issu de forêts gérées durablement, on relâche à peu prés la même quantité de CO2 que celle qui a été absorbée pendant la croissance des arbres. Le solde CO2 de la combustion du bois est neutre à l’horizon de la durée de régénérescence de de la forêt exploitée. 2)La combustion du gaz, charbon ou fioul augmente la quantité de CO2 dans l’atmosphère durant des siècles voire des millénaires.
Cependant il faut noter que la combustion du bois qui augmente la quantité de CO2 sur quelques décennies n’est pas acceptable vu l’urgence climatique.